Monsieur Louis Alliot,
Vous avez fait, au sujet de l'enterrement de Charb, cette ignoble diarrhée verbale :
Pour être tout à fait clair et tout à fait honnête pour ceux qui en doutaient, moi je ne suis pas Charlie.
Vous avez fait, au sujet de l'enterrement de Charb, cette ignoble diarrhée verbale :
Pour être tout à fait clair et tout à fait honnête pour ceux qui en doutaient, moi je ne suis pas Charlie.
Je ne l'ai jamais été et je ne le serai jamais. Je trouve que c'était un journal particulièrement ignoble mais à la seule différence de nos adversaires politiques (sic), je considérais évidemment qu'il avait le droit d'exister parce que dans notre conception de la liberté, tout a le droit d'exister, y compris d'ailleurs les ennemis de la liberté.
Est-ce que vous imaginez l'inverse ? À la télévision, un enterrement avec des chants nazis, des drapeaux nazis, des anciens nazis ? Parce que moi, dans mon esprit, je ne fais pas la différence entre l'un et l'autre. C'est pour ça que je suis choqué d'ailleurs."
Monsieur Aliot, face à cette ignoble comparaison, cette ignominieuse métaphore, je vous décerne le très mérité prix de :
"L'Imbécile néofasciste inculte de l'année"
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| "Tiens, un coq... Ca me changera de ma poule..." |
"Pour comprendre une caricature,
il n'est pas nécessaire de savoir lire..."
Et bien même ça, vous en êtes parfaitement incapable.
Monsieur, comparer votre idéologie nauséabonde, vos phantasmes et fantasmes haineux (dans les deux cas, cela fonctionne parfaitement), vos délires mégalomaniaques avec ces artistes abattus par des fascistes religieux relève au mieux de la bêtise "Front Nationalique(*)", au pire de la connerie familiale "Le Pénique(*)"...
C'est vrai que votre dulcinée est allée au dîner autrichien d'anciens nazis et que cela ne vous à posé aucun problème malgré les origines de votre grand-père maternel mais là, vous êtes allé trop loin dans la démagogie idéologique...
Dire que vous "tolérez" Charlie Hebdo parce qu'il y a la liberté d'expression en France laisse à penser que, si par le plus grand des malheurs démocratiques, vous arriviez à l'Elysée, la Liberté d'Expression et tout ce qui va avec serait mise à mal très rapidement, le meilleur exemple étant les menaces proférées par la nièce de votre "femme", Marion Maréchal-Pétain Le Pen, lors de la scandaleuse remise du prix de "l'Elu local de l'année" : "Marion Maréchal-Pétain Le Pen : Le sourire d'une blonde, l'agressivité d'un borgne..."
Monsieur Aliot, il y a des comparaisons qui sont insoutenables moralement, éthiquement et politiquement. Votre prix en amplement mérité car vous confondez tout, vous ne comprenez rien et surtout, votre esprit est malade, malade d'une maladie commune à tous les membres de votre triste parti :
"La Haine.
La haine des autres.
La haine de soi-même.
La haine de la vie.
La haine de la liberté."
(*) : Pourquoi je dis "Front Nationalique" et "Le Penique" ? C'est juste un "clin d'oeil borgne" au vocable utilisé par Le Pen père lorsqu'il parlait des personnes atteinte du sida. Il ne disait pas "Sidéen" qui est le terme approprié, sans connotation négative, il disait "crânement", "Sidaïque" qui avait pour lui une valeur d'une extrême négativité... C'est juste une figure de style en mode "boomerang"...
